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 Mère nature (Poison Ivy, Harley Quinn)

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GCPD
GCPD
Harvey Bullock

Gotham ID Card
Disponibilité RP: Prit
Relations conflictuelles: Les criminels en général
Relations amicales: L'ensemble du GCPD. Collabore à l'occasion avec les justiciers masqués
Harvey Bullock

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MessageSujet: Mère nature (Poison Ivy, Harley Quinn)   Mère nature (Poison Ivy, Harley Quinn) EmptyLun 16 Nov - 11:07



Prologue
Allez les Dodgers!


Extrait du tabloïd à scandale « Gotham Confidential ».

SALUT LES DODGERS !!!
Adios les arbres entassés !!!

Pigez un peu ce qui arrive. Nous adorons tout autant que vous le grand passe-temps national, mais quand ça suffit, ça suffit. Écoutez, tout le monde veut un petit foyer bien chouette pour les Dodgers, l’équipe de baseball de notre belle Gotham. Un endroit où ils se sentent chez eux, nous y compris. Mais ouvrez vos esgourdes : le conseil municipal de Gotham City est fin prêt à faire raser les Jardins botaniques Giordano afin de leur bâtir un nouveau stade. Cette pauvre enclave en tranchée de verdure, outrageuse et outrancière, ce poumon vert du quartier d’Otisburg. L’un des rares espace vert dans une ville souillée de sombre et sinistre smog. Et les Dodgers, balanceurs de ba-balles entre tous, et batteleurs aux belles banderoles, sont prêts à occuper les lieux illico-presto, la poussière des bulldozers une fois éclaircie et leur stade construit. Ils auront dès lors un tout nouveau foyer d’où ils pourront régner en maître sur la division nationale !!! Vous pigez ? Vous êtes contents, nous sommes contents ! ALLEZ LES DODGERS !!! Mais qu’adviendra-t-il de tous ces arbres dépossédés de leur destin comme de leur domicile par les Dodgers ?

Esgourde-ville : le bureau cadastre et voirie de la ville a fait appel pour ratiboiser l’endroit et construire le stade, à Joe Johnston, le roi de l’immobilier rapace. Le bâtisseur par excellence des cahutes-cabanon des taudis vite torché, vite monté des quartiers pauvres de Bludhavven. Le bureau dans sa volonté d’entreprise, a examiné avec intérêts et attention le plan du tout nouveau stade de baseball proposé par Johnston le rapace. Mais avant de faire du parc un rade terrain vague, afin d’y batir son stade façon derviche, Johnston doit dégager la seule habitante des lieux : Pamela Isley alias Poison Ivy. On a interviewé le promoteur immobilier, qui est très confiant sur la prochaine expulsion de Pamela Isley. Il nous a confié je cite : « Si elle ne dégage pas de MON terrain, je vais lui faire danser la jigue du sac-à-puce qui crame, au son du fandango du ghetto. On va la renvoyer à Arkham à coups de pied au cul. »

Il apparaît que les pouvoirs en place à Gotham semblent apprécier au plus haut point les valises de billets verts de l’ami Johnston. La municipalité a dépêché sur les lieux le GCPD, avec la fonction de convaincre au boniment ou à la manière forte, Poison Ivy, pour qu’elle déménage avant la date d’expulsion fixée, sans attendre les injonctions légales d’éviction.

Conclusion captivante et corrosive, coercition incluse à considérer. Le GCPD se trouve-t-il porteur de valise des corrompus de la ville ? Est-ce que les durs à cuirs de la police, réussiront à survivre aux écolos de la ville, tous houspilleurs horripilants ? Tous les efforts hors programme d’Ivy la rouquine fatale pour préserver la flore de notre ville, parviendront-ils à lui faire extraire son mortel baisé empoisonné avant le week-end prochain ?

Souvenez-vous chers lecteurs, que c’est ici que vous l’avez lu en premier.


Fiche codée par NyxBanana







Mère Nature
Poison Ivy • Harley Quinn • Harvey  Bullock


Harvey Bullock reposa le dernier numéro de Gotham Confidential après l’avoir lu et commenta :

« C’est quoi toutes ces conneries ? Comme si on avait besoin de ça. On a autre chose à faire que de s’occuper de gérer les manifestations écolos. »

Bullock, les pieds sur la table de son bureau. Sa main ouvrit sa boite à donuts et s’envoya un panaché fraise/choco dans le gosier. Le sergent Harvey Bullock avait décrété qu’il s’agissait d’une journée de merde. Visez plutôt :

9h du mat : la journée avait commencé avec un carambolage de 4 voitures, sur Hoover Boulevard. Avec pour conséquence tôle froissée et une demi-douzaines de blessés. Bullock arrivé sur les lieux, avait recueillit les déclarations des témoins oculaires. Les responsables de l’accident étaient deux rigolos qui avaient fait la course après une fin de nuit arrosée aux gin fizz.

10h du mat : un cabanon en préfa inhabité pas aux normes s’était effondré, tuant par la même occasion deux adolescents, un garçon et une fille, qui avaient fuient de chez leur parents respectifs et qui se pelotaient dans le soubassement. Bullock s’était tapé le coroner, direction la morgue de la ville pour les deux mômes.

11h du mat : incendie avec 3 véhicules de pompiers à la clé. Bullock à assurer la circulation. A devoir aussi séparer en force une résidente de l’endroit qui avait entreprit de genouiller les couilles du pyromane, avant de le tabasser. Bullock avait appelé une ambulance qui s’était dépêché d’embarquer le camé.

12h : repas de merde dans un drive. La bière était froide à vous décaper les dents. La pizza était brûlante à vous emporter la gueule.

Aussi, en ce début d’aprem, Bullock avait décrété que cette journée serait à chier. Surtout avec son idée de génie :

Bullock avait fait passer le mots la semaine dernière : Ai besoin de toutes les rumeurs sur les crimes potentiels ou en cours dans les bas-fonds de Gotham City. Fouineurs de bas étage intéressés : appeler Harvey B.

Bullock resta collé à son téléphone. Des gugusses avaient appelés pendant 3 jours non stop. Bullock avait dit à chacun: offre-moi un petit tuyau bien brûlant pour me prouver ta crédibilité d’informateur. Les gugus s’exécutèrent. Visez un peu l’échantillonnage : La vieille peau, épouse du maire de la ville, venait de pondre l’enfant illégitime de Bruce Wayne. Dinah Lance, la tête d’affiche éthérée du Black Canary Club, courait les prostitués mâles. Un duo brûlant : le commissaire de la ville James Gordon était fan de Francis, la Mule parlante d’un programme télé pour enfant. Le maire Hamilton Hill avait du sang chinois dans les veines, preuves à l’appuie. Un employé de Wayne Enterprise avait un surnom fort à propos dans le milieu SM de la ville : « le cendrier humain ». Dick Grayson, élu récemment Mister Gotham, avait mit une fille enceinte grâce à une parthénogenèse, en suivant le protocole je-me-branle-dans-un-tube. Jésus-Christ était ressuscité, il dirigeait un bordel dans Gotham Nord. Le mec qui lui avait donné cette dernière info lui avoua également le crime de Jésus-Christ : c’est lui qui avait fournis les clous. VENGEANCE !!! (Jésus avait baisé sa femme).

Ça empira. Harvey nota 19 candidats au total. Tous des putains de pas-nets. Le téléphone sonna. Le pas-net n°20 à l’horizon, comme une menace. Harvey décrocha, la mort dans l’âme.

« Ouais ? »

« Harvey c’est Sonny. »

Sonny Bowen, capitaine de police et occasionnellement patron du mandat expulsion, des services du procureur de la ville.

« Dis moi tout. »

« On a une cliente à faire expulser. »

« Et où est le problème? »

« C’est une tarée d’Arkham. »

« Et merde. Me dit pas que c’est Poison Ivy...»

« Ramène toi aux Jardins Giordano et au pas de course mon grand. »

…………………………

Bullock gara sa banalisé du GCPD sur un parking d’occase. Des voitures rangées serrées. Des cris, les pancartes des manifestants écolos qui remuent là-bas. Un grand défilé-manifestation écolo devant le parc botanique. Voilà déjà les bulldozers et les caravanes de chantier installés, qui attendent de pouvoir raser l’endroit. Des cris :

« Mère nature vaincra ! Non à la destruction des espaces boisés de Gotham ! Ivy on t’aime ! »

Bullock passa la ligne en force, en brandissant son badge du GCPD. Que des regards hostiles des manifestants, mais pas un seul jet de pierre dans sa direction. Que du sang de navet. Voilà le capitaine Sonny Bowen, tout sourire, avec une tape dans le dos pour Bubu. Des cris encore :

« Non à l’écocide ! Ivy on t’aime ! Défonce les tous ! »

Bullock accompagna l’officier flic à l’écart, vers les caravanes. Sifflets des manifestants, mais pas de jets de boites de conserves vides. Des vrais mauviettes.

« Voilà l’affaire : on peut pas envoyer les bulldozers tant que la garce rousse squatte les lieux. Alors faut envoyer d’abord un médiateur pour la convaincre au baratin de décamper. »

Des cris derrière :

« Ivy assure ! Ivy maire de Gotham ! Ivy présidente ! Elle va botter le cul du GCPD ! »

L’officier de police brandit un doigt d’honneur de loin aux manifestants et confia à Bullock :

« J’ai envoyé quelques petits gars du SWAT pour la faire dégager. Mais ils sont revenus en courant, la trouille au corps. Dans les jardins, ils sont tombés sur une plante carnivore. Elle a recraché devant eux un fémur humain, un peu comme on recrache un chewing-gum. Ils ont détallés sans chercher à comprendre. »

Bowen regarda Bullock.

Bullock regarda Bowen.

Leurs regards se croisèrent. Leurs regards firent des étincelles. Leurs ondes cérébrales se rencontrèrent du côté de la planète Mars. Bullock comprit le topo et lança :

« AH NON ! C’est pas moi qui rentre là-dedans pour aller lui demander de prendre ses frusques et de se tirer de ce parc ! »

« C’est pas négociable Harvey. T’as été désigné volontaire. T’es un membre de l’équipe anti-super-criminel que Gordon a mit sur pied spécialement pour ramener au frais les évadés d’Arkham. Tu as déjà eut affaire à cette engeance et tu sais comment parler à ces tarés. Alors sergent, tu va rentrer dans ce putain de parc et me faire sortir Poison Ivy avant que je ne lui envoie un bulldozer dans la tronche. »

Bullock s’éloigna en fureur. Un manifestant écolo abruti le colla de près en lui demandant :

« Z’allez là-dedans ? Y’a moyen que vous demandiez un autographe à Ivy pour moi ? Elle pourrait signer ça ? »

Il lui colla un truc dans les bras. Visez le trésor ultime du fan-boy : l’image-dessin de Poison Ivy en mode pin-up, en dépliant poster de page centrale de Playboy magazine (numéro spéciale sirènes de Gotham). Poster monté à l’épreuve du temps sous plaquette lamifiée.

…………………………


Une journée de MERDE !!!

(On se tue à vous le dire)

Bullock s’était dégoté un fusil à pompe avant de s’engager dans le jardin botanique. Il marcha dans la verdure. Le terrain était escarpé. Les chenilles des bulldozers avaient broyé des écorces d’arbres tombés à terre avant de se faire virer par les plantes carnivores d’Ivy, ça se voyait. Mais qu’est-ce que ? Une jungle, l’endroit avait été transformé en une JUNGLE ! Des broussailles tropicales partout et même des cannes à sucre qui poussaient. Sérieux ? Au bout de 30 mètres à marcher au milieu des lianes, Bullock n’avait plus l’impression d’être dans un parc qui se situait en plein milieu de la zone industrielle d’une ville, mais bien au cœur de l’Amazonie. L’air devenait chaud. Des pétales de rose virevoltaient dans l’air ambiant à chaque petit coup de vent. En levant la tête on ne voyait plus que des arbres de jungle touffus et on ne distinguait même plus les immeubles de Gotham, qui pourtant encadraient le parc.

Bullock essaya de trouver une piste à suivre dans la couverture de feuillage abondante. Pas moyen. Il crapahuta et ondula. MERDE ! J’ai pas signé pour ça ! Il aurait du prendre une boussole. Un vrai labyrinthe de feuilles et de hautes herbes. Il marcha. Il donna des coups de crosse avec son fusil à pompe à travers la saloperie de feuillage et de racines bien épaisse. Il se dégagea un chemin à coup de pied. Il donna des coups rageurs avec sa crosse. Une plante carnivore pleine de dents s’empara de son fusil. Bullock ne voulut pas le lâcher et tira dessus des deux mains pour retenir son arme avant qu’elle ne finisse dans le gosier de la plante.

« Lâche ça ! »

La plante insista pour bouffer son arme. Bullock insista pour la garder.

« Tu va lâcher ça mocheté ! »

La plante gagna et s’empara de son flingue. Bullock tomba en arrière sur son cul. La plante bouffa et gloutonna son fusil. La plante fit un bruit inquiétant en machouillant le truc. La plante eut comme un renvoie, dans le style : « huuuum, j’ai bien bouffé ». Bullock se releva. Il aperçut toute une ligne de plantes carnivores. Elles le reluquaient et le suivaient du regard, comme l’aurait fait une bande d’alligators à l’affût. Bullock prit peur et décampa en courant. Il ne se baissa que pour ramasser le poster pin-up du fan boy de Poison Ivy, qu’il avait fait tomber de sa poche de veste. Mais bordel pourquoi il avait accepté de ramener un autographe de la femme fatale rousse à ce sous-doué ?

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Pamela Isley / Poison Ivy

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MessageSujet: Re: Mère nature (Poison Ivy, Harley Quinn)   Mère nature (Poison Ivy, Harley Quinn) EmptyLun 23 Nov - 0:44
Mère Nature
Poison Ivy & Harvey Bullock & Harley Quinn
Les jardins botaniques Giordano étaient comme un havre de paix pour Ivy. Cet endroit était son bébé, son petit chouchou, si l’on voulait la trouver, c’était là qu’il fallait aller en premier. On y trouvait tout un ensemble de plantes exotiques, certaines même très rares, certaines mêmes en voie de disparition. Vraiment, cet endroit était comme un paradis pour Ivy, son propre jardin d’Eden, l’endroit où sûrement elle se sentait le mieux dans cette pauvre et misérable ville, qui manquait terriblement de verdure et d’air. Quand elle y allait, elle se sentait revivre, elle se sentait devenir plus forte, plus puissante, en une fraction de seconde. C’était comme si elle rentrait à la maison, comme si elle trouvait sa place.

Bien évidemment, elle n’y vivait pas non plus en permanence. Ce serait beaucoup trop évident pour les autorités, qui risquaient de venir la déloger et la renvoyer à Arkham, là où elle serait encore une fois enfermée dans une cellule sombre, sans fenêtre, sans air pur, sans terre, sans rien. Là où on la laisserait mourir à petit feu, où on la ferait faner sans aucune pitié. Souvent, elle ne comprenait pas les titres qu’on lui donnait : terroriste, criminelle, psychopathe… C’était les humains qui étaient sans cœurs, pas elle. En quoi vouloir sauver la Terre faisait d’elle la méchante de l’histoire ? Certes, elle pouvait concéder que ses méthodes étaient parfois un peu extrêmes, mais la fin justifie les moyens. Batman était vu par beaucoup comme un héros, alors que ses ennemis finissaient souvent avec des blessures graves et des séquelles permanentes. Vraiment, les humains avaient un code moral plus que douteux.

Pour en revenir aux Jardins Giordano, si elle n’y vivait pas de façon permanente, cette fois elle s’était vue obligée d’investir les lieux pour un peu plus longtemps qu’à l’accoutumée. Et tout ça à cause de la folie de pauvres hommes, et de leur passion pour quelque chose de primaire qui les rendait tout bonnement fous à lier : le sport. En effet, il avait été décidé que les Jardins seraient rasés, sûrement pas assez rentables pour des gens qui touchent des sommes d’argents ignoblement importantes en restant dans des bureaux situés tellement haut dans des tours d’acier que le monde d’en bas leur paraissait ridiculement petit, et qu’ils seraient remplacés par ni plus ni moins qu’un stade de baseball. Qui serait sûrement recouvert d’un faux gazon de très mauvais goût, dont la construction causerait une pollution monstre, et qui accueillerait des visiteurs tous plus idiots les uns que les autres, créant des montagnes de déchets à chaque match à force de se gaver de friandises dont la confection aussi est la source d’une pollution monstre, couplée à une déforestation sans précédent. Une chose était sûre : Ivy ne pouvait pas laisser faire ça.

Ainsi, elle avait pris ses quartiers dans les Jardins Giordano, elle s’y était installée avec Harley, les deux femmes ne se quittaient quasiment plus. Elle n’avait pas caché ses intentions : quiconque essaierait de la déloger ou de s’en prendre à l’endroit n’y survivrait tout simplement pas. Les journaux, les autorités et les justiciers avaient été clairs sur un point : Ivy n’était pas une justicière. De ce fait, elle ne se comporterait pas comme telle, et ne présenterait aucune pitié envers ceux qui se mettraient en travers de sa route. Toucher aux Jardins, toucher à ce petit écrin de nature, c’était comme l’attaquer directement elle. Et elle n’avait jamais était du genre à tendre l’autre joue. Elle se défendait toujours farouchement, il le fallait bien, après tout. Sinon, qui d’autre le ferait ?

Dehors, devant les jardins, elle pouvait entendre plusieurs bruits distincts. D’abord, ceux de ses supporters, ceux qui comprenaient son combat et qui la soutenait. Même si elle était heureuse de voir que parmi les humains, il y en avait quand même quelques-uns qui avaient une conscience écologique, cela l’agaçait de les entendre hurler et piaillait. Ils avaient l’air ridicule. Comme une bande d’illuminés. Les actions parlaient plus que les mots, elle l’avait démontré maintes et maintes fois. La police ne les écouterait pas, de toute façon. Leurs sirènes étaient un autre bruit qu’elle entendait. Et vu le volume, il n’y avait pas qu’une seule voiture devant, mais plutôt une bonne partie du GCPD. S’ils étaient là pour la faire bouger, c’était peine perdue. Pour qui se prenaient-ils, même ? Cette bande d’incapables, qui ne pouvait pas faire leur travail sans l’aide des justiciers sur lesquels ils allaient ensuite cracher allégrement.

Qu’est-ce qu’ils comptaient faire, là ? Rentrer et tirer dans le tas ? Ce serait une grossière erreur, Ivy les attendait et était prête à attaquer, à hypnotiser et à ensorceler ceux qui oseraient franchir cette porte sans qu’elle n’en ait donné l’autorisation. Deux hommes du SWAT avait tenté de rentrer déjà, et Ivy leur avait offert un spectacle qu’ils n’étaient pas prêt d’oublier : en effet, en venant s’installer ici, elle avait aussi ramené une plante carnivore sur laquelle elle avait travaillé et qu’elle avait rendue plus… féroce que ces comparses qui poussaient dans la nature. Et cette nouvelle plante ne crachait pas sur de la chair humaine. Voir un fémur avait suffi à terroriser les deux gorilles, qui étaient sortis en courant. Postée à l’entrée des jardins, la plante servait de garde efficace, et Ivy avait pris le soin de placer ses « petites sœurs », des plantes tout de même moins dangereuses mais plus dissuasives, derrière elle. Elle n’aimait pas forcément ce projet, bidouiller les plantes pour en faire des monstres. Elle avait l’impression de les dénaturer.

Un peu plus tard, du bruit attira à nouveau son attention. Quelqu’un venait à nouveau d’entrer et était en train de se battre avec la plante. Ivy s’approcha discrètement pour voir de qui il s’agissait, et ce qu’elle allait en faire. Cette fois, ce n’était pas un agent du SWAT, mais un simple policier un peu rond, qui se débattait alors que la plante essayait de lui arracher son arme. Les humains ne juraient vraiment que par les armes à feu, c’était indécent. Bien évidemment, l’homme pris peur et voulut s’échapper, mais Ivy avait un plant pour lui. A l’aide d’une racine, elle bloqua la porte d’entrée de l’endroit. Il pensait s’enfuir ? Il se fourrait le doigt dans l’œil. Cachée dans l’ombre, Ivy s’adressa à lui.

« Dîtes à vos hommes de partir tout de suite. Je ne céderais à rien. »


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