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 GCPD, to protect and to serve (Ana Wright)

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Harvey Bullock

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Relations conflictuelles: Les criminels en général
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Harvey Bullock

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MessageSujet: GCPD, to protect and to serve (Ana Wright)   GCPD, to protect and to serve (Ana Wright) EmptyLun 21 Sep - 14:12



GCPD, to protect and to serve
Ana Wright • Harvey  Bullock


Le bureau d’Harvey Bullock :

Des piles de paperasseries en veux-tu en voilà. Des étagères remplies à ras bord de dossiers. Les 4 murs de son cagibi étaient invisibles, recouverts par les étagères et les tableaux de lièges sur lesquels étaient épinglés : fiches d’arrestations, mémos et portraits anthropométriques de suspects. Une immense carte de Gotham City était épinglée derrière le fauteuil de son bureau. Des épingles à têtes rouges sur la carte pour les investigations en cours sur les crimes non résolus. Des épingles à têtes bleus indiquaient les indics du GCPD à travers la ville. La corbeille à papier de Bullock était remplie à ras bords de gobelets de café en cartons et de feuilles roulées en boule. Le gros Bubu s’enfilait un donut à la fraise, adossé contre sa chaise, les pieds sur son bureau.

Il mata son calendrier : un mois de merde, jugement sans appel. Visez plutôt :

Du 1er au 8 : Enquête sur une responsable de conditionnelle assassinée. La femme s’était tapé 4 mariages foireux, dont le dernier avec un mec qui s’entretenait à la méthadone.

Les 8 et 9 : Enquête sur une arnaque de vente par téléphone de vidéos pornos et de médications pour se faire rallonger le sexe.

Du 9 au 13 : Coup de feu avec les mecs de la Brigade des mœurs, pour alpaguer un connard qui subornait des minettes en socquettes direction le trottoir. Dans la foulée assaut sur une fabrique clandestine de benzédrine.

Du 13 au 16 : Surveillance des bains publiques de la ville. Un conseiller municipal avait fait état de contrats frauduleux dans une conversation indiscrète. Depuis le commissaire faisait tourner un poste d’écoute dans l’établissement en espérant que le conseiller allait revenir se faire un petit sauna et cracher le morceaux.

Du 16 au 23 : Enquête à la con sur la nouvelle masquée en vue : Arachné-ci, Arachné-ça. A courir aux 4 coins de Park Row pour assurer le coup.

Le 24 : petit pas de tango avec Chick Nadell le célèbre voleur/recéleur. Le connard venait de braquer un magasin et Bullock avait poursuivit son camion avec sa banalisé. Le salopard se tapait toute une cargaison de télés volées bien brûlantes. Bullock lui était rentré dans le lard.

Du 25 au 28 : A surveiller les minables qui sortaient de Blackgate et qui entraient en conditionnelle, tout en oubliant opportunément d’aller à leur rendez-vous avec leur agent de probation.

Du 28 au 30 : Inondation niveau boulot. Sécheresse niveau vie privée.

Bullock arracha la page du calendrier. Coup de téléphone.

« Ouais ? »

« C’est Gordon. Sergent j’ai un boulot pour vous. Reportage journalistique sur le GCPD. A vous le travail. »

« La corvée, vous voulez-dire commissaire... »

« Ne discutez pas sergent. Allez à l’accueil et au pas de charge. »

…………………………

Visez la scène :

Le hall d’accueil du GCPD. Des portraits anthropomorphique de suspects placardés. Les cris des poivrots qui retentissaient au loin dans les couloirs, depuis la cellule de dégrisement. Le mec derrière le comptoir qui entretenait son ardeur à coup d’expresso. Des avocats marrons en pleine discussions de marchands de tapis avec leurs clients. Un type menotté en train de vociférer pendant que deux agents en uniformes le plaquaient au sol. Bullock se pointa au lieu-dit et se planta face à Ana Wright, journaliste dont il savait qu’elle n’aimait pas trop certaines méthodes policières. Bullock le malicieux cynique. A lui tendre la main en lançant ironique, la bouche en coeur :

« Sergent Harvey Bullock. C’est moi qui ait abattu le célèbre rôdeur/cambrioleur Wendell Hearns. Il avait engendré 14 mômes hors mariage avec 14 femmes différentes et payait 14 pensions alimentaires. Le planning familial de Gotham City m’a félicité pour son élimination. A propos, je lui ai tiré dans le dos. »

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Dernière édition par Harvey Bullock le Mar 29 Sep - 14:03, édité 1 fois
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MessageSujet: GCPD, to protect and to serve   GCPD, to protect and to serve (Ana Wright) EmptyMar 22 Sep - 20:59
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ANA WRIGHT
.


HARVEY BULLOCK


La lumière si sombre de la nuit gothamite laissa finalement sa place à ces filaments jaunes qui venait caresser le visage de la journaliste. Elle avait mal fermé les volets hier soir, très mauvaise idée, c’était le soleil qui la réveilla et non pas le son agressif de son réveil. Si le soleil pouvait déjà se frayer un chemin entre les volets, c’est qu’il était facilement plus de sept heures, peut-être sept heures et demie même… Sept heures et … demie ! Et merde ! Ana se leva d’un seul coup, faisant valser sur le sol sa couverture. Elle se dépêcha d’aller dans la salle de bain, pour se coiffer, se brosser les dents et essayer de ressembler à quelque chose. Une autre version d’elle, une autre version que cette morte-vivante qu’elle pouvait actuellement voir dans ce miroir. Elle attrapa ses chaussures qui traînait sur le sol. Elle était plus que rapide. La pigiste commençait à huit heures, c’était tendu d’être à l’heure, mais la brune ferait de son mieux. Le problème, c’était qu’elle se trouvait à l’autre bout de Gotham City. Parce qu’Ana, avait décidé de passer la nuit autre part que chez elle, pour une fois, oui. Forcément, la jeune femme ne sortait jamais chez elle, la jeune journaliste passait sa vie à travailler, chez elle, avec sa tasse de café, mais pas aujourd’hui, non pas aujourd’hui. Elle avait décidé de passer le début de sa soirée dans un bar sordide de la ville et de finir chez quelqu’un. Maintenant dans la chambre elle se baissa pour attraper son sac, son paquet de clope qui se trouvait sur une table basse. Elle tourna la tête vers lui, il avait de la chance, il pouvait terminer sa nuit, et le boucan de l’employée du Gotham Globe ne le perturbait pas. Ana soupira et tâta ses poches. Elle avait tout, ses clefs, son badge. Elle n’avait perdu que sa dignité, mais, ça ne servait à rien de la chercher, cela faisait bien trop longtemps qu’elle était morte et enterrer. Elle soupira, attrapa une cigarette et la mit entre ses lèvres, sortant son briquet d’une des poches de sa veste. Une cigarette pour digérer tout ça était plus que recommandé selon… Ses propres recommandations. 

Lorsqu’elle tourna la poignet de cette porte pour rejoindre la cage d’escalier, une alarme stridente retendit. Un bruit désagréable, qui pousserait n’importe qui à se réveiller même après une nuit agréable, pleine de songes incroyables. 

Oui, n’importe qui se réveillerait. N’importe qui, comme… Ana, par exemple. 

La jeune femme râla, à peine réveillée, laissant sortir de sa bouche tous les noms d’oiseaux qu’elle connaissait. Elle se leva et appuya violemment sur son réveil. Bordel. La jeune fille se demandait, pourquoi elle avait fait un tel rêve ? Même si arrivé en retard faisait partie complète de ses cauchemar (et pourtant, c’était une habitude…) se réveiller à côté d’un coup d’un soir ? C’était inattendu.. Peut-être que la solitude de la pigiste commençait à lui jouer des tours, peut-être, peu importe, elle gérerait ce problème plus tard. Là, elle devait se grouiller pour… Aller travailler. Elle n’avait pas le temps de rester assise sur son lit à réfléchir sur sa vie, ce qu’elle avait raté et pourquoi est-ce qu’elle était un humain aussi peu fonctionnel que ça. 

Ana soupira, elle avait rendez-vous au … GCPD. Oui, Ana au GCPD, drôle hein ? La brune n’était pas fan de cette idée, elle n’aimait pas la police, GCPD, NYPD, LAPD… peu importe, partout, la police n’était qu’un groupe de gens qui abusait de leurs pouvoirs à ses yeux, avec son lot de corrompus et de mecs à la gâchette trop facile… Oui. Elle le savait, ils n’était pas tous comme ça et c’était facile de faire se raccourci, mais les polices compétentes étaient trop rares. Et cette minorité ne parlait pas assez pour faire en sorte que des gens comme Ana change d’avis. Bref. Une clope au bec, la pigiste décida de rentrer dans un taxis jaune pour aller au GCPD. Elle aimait son boulot, et elle savait qu’elle évoluerait dans quelques années, mais pour le moment, elle n’était qu’une vulgaire pigiste qui devait tout couvrir, comme par exemple, un reportage sur les forces de l’ordre. 

Un homme se présenta devant elle. Elle arqua un sourcil, son attitude l’énervait déjà. Elle avait bien envie de cracher dans sa main avant de la lui serrer, mais ce n’était pas très poli et elle n’avait pas envie de finir en garde à vue, pas trop envie que son patron vienne la sortir de là, avec un avertissement.

« Sergent Harvey Bullock. C’est moi qui ait abattu le célèbre rôdeur/cambrioleur Wendell Hearns. Il avait engendré 14 mômes hors mariage avec 14 femmes différentes et payait 14 pensions alimentaires. Le planning familial de Gotham City m’a félicité pour son élimination. A propos, je lui ai tiré dans le dos. »

Comment répondre à cette provocation ? Loin d’être une sanguine, elle avait pourtant envie de mettre une gifle à ce policier, qui se pensait énormément drôle. Elle pencha sa tête sur le côté et lui répondit en affichant un de ses sourires volontairement les plus faux. 

« Oh vous savez, venant d’un flic, ça ne m'étonne pas que ça tire dans le dos. » Elle ne voulait pas trop tomber les deux pieds dans le plat, ce policier vouait volontairement l’énerver, elle le savait. Et si elle commençait à buter sur ça, la journée allait être très longue, vraiment très très longue. 

« On peut commencer le reportage ou vous voulez qu’on continue les gamineries ? Je vois noter GCPD ici et pas école élémentaire. »







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MessageSujet: Re: GCPD, to protect and to serve (Ana Wright)   GCPD, to protect and to serve (Ana Wright) EmptyMar 29 Sep - 14:55



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« ...ça ne m’étonne pas que ça tire dans le dos... »

BIM !!!

« ...je vois noté GCPD ici et pas école élémentaire... »

BAM !!!

Harvey Bullock avec son sourire d’avaleur de couleuvres et fier de l’être. Il eut comme un coup de froid à l’idée de se taper un petit numéro de relation publique avec cette journaliste chieuse pour une visite guidée. Oui un coup de froid. Genre deux glaçons dans son caleçon.

« Ok ok, commençons le grand cirque, vous et moi on a pas toute la journée. »

Le gros Bubu l’invita de la main à pénétrer plus avant dans le Commissariat Central de la ville. Un groupe de témoins dans une affaire criminelle leur emboîta le pas. L’escalier était bondé, les couloirs étaient noirs de monde, les ascenseurs étaient plein comme des boîtes à sardines. Le commentaire du guide touristique :

« Une journée normale à Gotham City. »

Les gens se bousculaient : plaignants, témoins, juristes, flics, etc. Bullock leur fraya à tous deux un chemin dans la foule. Ils s’engouffrèrent dans l’escalier, ils parvinrent à la salle de police, elle était noire de monde. Commentaire du guide :

« Mademoiselle Wright, je vous présente l’élite des forces de l’ordre de la ville, la crème de la crème, les meilleurs des meilleurs, le dessus du panier. Les agents les plus compétents pour assurer la loi et l’ordre dans nos rues. »

Bullock désigna d’un geste théâtrale des flics dans leurs bureau box. Ils baillaient devant leurs écrans d’ordi. Ils tapaient leur rapport en appuyant sur une touche à la fois avec un seul doigt en s’y reprenant à plusieurs fois, comme des illettrés qui n’avaient pas eut beaucoup l’occasion d’utiliser un clavier d’ordi à l’école.

Voilà les petits délinquants menottés à leurs chaises. Sur les revers de veste : des cartes avec noms et prénoms. Bullock épingla une carte de presse sur le revers de la veste d’Ana, sans lui demander son avis. Bullock nota dessus au feutre : « Ana Wright, emmerdeuse. » Bullock épingla son propre insigne de sergent. Il fit un geste cérémonieux (presque parodique) pour proposer à Ana d’avancer au milieu de la travée des bureaux des flics.

« Par ici les hauts lieux d’investigations. »

Les portes des salles de revue : Cambriolages, escroqueries, vols de voitures, contrefaçons, homicides, incendies criminels, vols. Bullock fit un petit coup de coude à Ana et lui désigna deux flics en uniforme de la Brigade des patrouilles, en train d’échanger un billet d’un dollar devant une liste des portraits anthropométriques des détenus de l’asile d’Arkham.

« Observez ces deux agents. Ils pratiquent le jeu habituel des flics à leur moment perdus dans un poste de police de cette ville. Le jeu s’appelle : « un nom sur le taré ». ça consiste à parier un dollar pour deviner ou retrouver le nom d’un criminel en camisole, juste à partir de sa trombine. »

Ils passèrent devant la salle de repos. Bullock attrapa un donut au vol et l’engloutit aussitôt. Ils passèrent devant les cages-cellules des mecs alpagués pour conneries sur la voie publique. A l’intérieur les poivrots chahutaient. Un obsédé avait ouvert sa braguette, pour passer son sexe à travers le grillage. Il le caressait et le secouait en chantant Nuit câlines, nuits d’amour.  Bullock qui papillonne des prunelles vers Ana et qui lui lance à peine ironique :

« Une journée normale à Gotham City que je vous dis. »

Ils passèrent devant la salle d’interrogatoire. Un gros flic en sortit en s’étirant, dévoilant en passant sous sa veste le chemin de croix du GCPD : colt 38 à canon court, matraque lesté de plomb et coup de poing américain. Le flic avait des traces d’hémoglobine sur les manches de sa veste. Il se trimballait amoureusement sous le bras un gros et volumineux annuaire téléphonique. Dernier vestige des années 90. L’annuaire avait toutes ses pages écornées, encore marquées de sang séché. Commentaire choisis de Bullock :

« Visez la bête. Voici Tom « l’Annuaire » Ludlow, notre meilleur élément pour faire cracher le morceaux aux tocards pendant les séances d’interrogatoires. Il utilise des arguments… percutants. »

Bullock la main en revers, à se pencher pour chuchoter dans l’oreille d’Ana, dans le style confidences-de-vous-à-moi.

« Je ne dis pas que c’est bien ou c’est mal, je dis juste que ça marche. »

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